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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 08:54


Perdues les ailes de l'amour Parfois tu me manques,

Toi qui n'existes plus et n'existeras peut-être plus jamais.

Il me revient quelques souvenirs de rêves, des sensations surtout. Confiance absolue, chaleur, temps suspendu.

Tes bras s'ouvrent et m'offrent une place, mon oreille sur ton coeur et tes bras qui m'entourent.

Entendre un coeur d'homme qui bat, j'aimerais ça.

Mon corps s'alourdit de fatigue et tu me soutiens, jusqu'à presque me porter.

Me sentir lègère dans des bras vaillants, me laisser aller comme souvent à cette douce fatigue, mais pas toute seule.

Tu me soulèves comme si j'étais une enfant et mon corps se réchauffe, j'entends aussi mon propre coeur battre.

Le mouvement de tes pas qui me mènent vers une couche me berce, et je me blottis.

Je souris comme quand on fait un joli rêve. 

Tu me déposes comme si j'étais fragile et précieuse et t'allonges près de moi.

Tu me regardes comme si j'étais jolie et je veux te voir aussi, t'observer comme tu le fais, je bénierais ta beauté de m'être offerte, et ton inconscience d'elle, ta simplicité, ton naturel.

Un homme qui sait partager mon silence, qui sent toute sa plénitude, toi l'homme qui sait que silence n'est pas vide.

-.qui-sait-partager-mon-silence.jpg

C'est le moment où nous savons bien ce que nous pourrions dire, mais où seuls les yeux parlent, et où les sourires se partagent et s'échangent.

Tout l'amour que je n ourris depuis toujours, en cet instant se concentre sur toi.

Dans cet instant parfait, je te dédis cet amour universel.

Tu ne me souhaites pas le bien-être, tu me le mitonnes.

Tu ne me dis pas que je mérite la paix, tu me l'offres.

Oui, c'est vrai je n'ai fait que rêver, et je veux bien rêver encore : que tu sois là ou pas, je connais toutes les sensations.

Mais si un jour tu existais, je pourrais enfin en toute quiétude, te caresser, éprouver le délice de mes rêves, toucher du bout des doigts, et tressaillir... réellement. 

Quand tu existeras, c'est que je n'inspirerai plus aucune sorte de peur, au moins à un seul homme, c'est que je ne serai enfin plus objet d'inquiétude.

Quel homme n'a aucune peur de la femme ?

un rêve.

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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 10:11

J'ai quand-même décidé de recopier cette lettre, la dernière que je t'ai écrite.

3 à 4 juillet 2011

Il est 0h45 entre dimanche et lundi et je vais écrire ce qui m'empêche de dormir.

Des voix d'hommes crient au loin depuis au moins une demi-heure, ils sont sûrement soûls, tu es peut-être parmi eux.

Je te revois au bas de la Bastille, à l'entrée de la Via Ferrata, en train d'essayer de me convaincre d'un amour partagé possible. Tu parais fragile sans tes dents.

Mais je ne m'apitoie pas car je ne peux oublier ce dont tu as été capable, et l'es peut-être encore. Je ne peux oublier, à présent que, je ne suis plus sous l'emprise de la passion que je te vouais.

Je ne peux oublier ni pardonner que tu m'as, le 22 janvier 2008 rouée de coups de pieds, fais bouffer la terre et tenté de m'étrangler avec la laisse de ton chien.Une-femme-battue.jpg

Que tu m'as poussée à m'en faire tomber dans la rue un soir d'octobre 2009, jetée contre le mur du couloir de chez ta mère le 9 juin 2009.

Je ne te pardonne pas d'avoir fait peur à mon fils et un de ses copains, avec ton ex-pote D. en décembre 2006.Enfants-effrayes.jpg

Je ne peux pardonner que tu aies réveillé en pleine nuit un jeune homme handicapé et de lui avoir fait si peur, pour une fleur et son supportFleur-fanee-dans-poing-ferme.jpg
et que tu l'aies traité de con quelques jours plus tard, de n'avoir pas compris ton acte démesuré par l'effet de l'alcool la nuit du 9 au 10 juin 2011.

Je ne peux plus désirer ton corps qui m'a tant de fois tourné le dos, tes colères au matin, ou que tu m'aies jetée du lit parce-que je me grattais des démangeaisons provoquées par le traitement qu'on m'avait prescrit à la sortie de l'hôpital, après mon acte presque mortel.

Tout ce que tu t'évertueras à remettre en valeur de ce que tu as fait de bien envers moi, comme venir me voir à l'hôpital, m'éviter les flics à Modane, réparer ma voiture, me convaincre au téléphone de quitter les urgences psychiatriques en juillet 2007, alors que tu n'avais pensé qu'à toi en partant, prendre l'air, et revoir l'ex-compagne que tu aimais plus que moi.

Tout ça ne réparera jamais les violences que tu m'as infligées (et je passe sur les violences verbales, d'un dénigrement à l'extême de l'avilissant)

On dit que "Qui a trompé, trompera". Je pense que "Qui a frappé, frappera" (d'autant que tu as violenté toutes "tes" femmes avant moi).Image de couple

Tu as peur que je me laisse aller dans les bras d'un autre homme...

Ce que je redoute est bien pire.

Pour tenter de t'accompagner dans les moments difficiles, il me faut faire un travail énorme de dédoublement, pour qu'une partie de moi entende ta souffrance actuelle et aide l'autre partie à mettre de côté toutes celles qui m'ont dégradée.

Je peux passer sur pas mal d'incohérences de comportement, la plupart des gens que j'aime en font preuve, et moi aussi. Mais la violence n'a aucune excuse.

Elle est irréparable.

En écrivant la date à l'en-tête de cette lettre je me suis aperçue que c'est ton anniversaire. Il y a 47 ans, tu es "né étonné".

Que ton 48ème voyage/an t'apporte les réparations dont tu as besoin.

Aucune année à venir ne peut réparer les horreurs que j'ai subies par toi, c'est ainsi, impardonnable.

Et je ne me pardonnerais pas non plus de m'exposer à nouveau à ces risques.

Mon coeur qui savait s'ouvrir si grand pour un seul homme, mon corps qui s'offrait à lui sans retour, ne peuvent se cantonner à une sorte de travail de fond pour arranger tout ça.

Je ne te pardonnerai jamais non plus d'avoir oublié notre première nuit d'amour.Decue.jpg

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9 juillet 2011 6 09 /07 /juillet /2011 14:03

Zo kwe zo énoncé par le Père fondateur de la République Centrafricaine, Barthélemy BOGANDA, signifie, qu'un homme en vaut un autre, un être humain est un être humain, sans distinction de race, de couleur...

J'ai rencontré l'homme de toutes les couleurs, mais il n'était pas qu'un, ils étaient nombreux, rassemblés en un même endroit pour inaugurer le lieu, et prêts à deviser jusqu'au bout de la nuit.

Monde-de-toutes-les-couleurs.jpg

Ma fascination était telle que j'avais du mal à me concentrer sur celui qui, tout empli de douceur et de patience, me confiait comme il était en carence de tendresse, d'une "copine" avec qui il aurait aimé manger de la nourriture, mais pas que de la nourriture. Celui qui me racontait tous les faits et gestes que j'avais effectués dans la demi-heure qui précédait, celui qui m'avait observée et désirée parce-qu'il m'avait trouvée belle, qui avait du mal à prononcer mon prénom et répétait le sien pour que je ne l'oublie pas.

Je le regardais et l'écoutais en souriant mais regardais et écoutais avec plus d'intensité encore et plus aussi de sourire, l'ensemble de ses frères, soeurs et ami(e)s qui à eux tous, m'offraient le spectacle coloré et vivant, de l'HOMME. Le-veritable-vetement-de-l-homme.jpg

Je respirais un absolu bonheur, d'où se détachait une tristesse déchirante.

Comment dire au seul que j'intéressais, que c'était le tout de ce moment et de ce lieu qui m'inspirait ?

Comment lui dire que mon désir ne le concernait pas lui seul, ne le concernait même pas du tout personnellement ?

Oui, j'ai besoin de me nourrir....

Comment lui dire, à peine rencontré, que je n'ai pas de désir de manger ni de désir  sexuel, que je n'ai pas le désir d'être une "copine", parler de sujets si personnels, sans entâcher un bien-être général, un amour universel ?

Il dit "je te laisserai prendre le temps, mais reviens"

Et j'ai dit que je reviendrai, mais je l'ai dit à tous, et tous m'ont dit que je serai toujours la bienvenue.

Aimer...

Aimer un ensemble d'humains, qui à eux tous n'en feront jamais un seul.Nous--femmes-et-hommes-de-toutes-les-croyances-et-tous-bord.jpg

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2 juillet 2011 6 02 /07 /juillet /2011 09:02

L'homme de toutes les couleurs Toutes-les-couleurs.jpg

L'homme qui n'a pas d'âge

L'homme qui a pansé ses blessures,

Qui a gardé sa part d'enfance sans être infantile

Simple sans être stupide

Intelligent, spirituel et discret à la fois

Aimant de son âme et de son corps  à égalité

Qui ne souhaite faire sienne la femme qu'il aime

Qui ne croit savoir mieux qu'elle, ce qu'elle pense, ce qui est bon pour elle

Qui t'accompagne même quand les circonstances de la vie vous éloignent

Qui prend aussi bien soin de lui, que de toi, de ses enfants et de tous ceux qu'il aime

Qui fait ce qu'il dit ou se tait s'il ne le peut

Qui sait lâcher prise sans se sentir moins homme

Rire et pleurer tour à tour

Qui t'enseigne sans penser que tu dois lui en être redevable

Qui, s'il a des principes, ne cherche à te les imposer

Et n'est tenté de traduire ses instincts en principes

Qui ne croule sous le poids du rôle social dont il se croit investi

 


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2 juillet 2011 6 02 /07 /juillet /2011 07:04

... L'INCOMPARABLE SENSATION D'AIMER.L-incomparable-sensation-d-aimer.jpg

Même pour de mauvaises raisons, même si je ne voulais le voir que tel que je le désirais.

"Aimer à n'en savoir que dire,

à n'avoir que lui d'horizon,

et ne connaître de saisons

que par la douleur du partir

aimer... à perdre la raison" (merci Jean Ferrat).

Je sais bien que j'étais déjà malade, pourtant je ne m'étais pas encore perdue.

Lui... je lui ai laissé prendre toute la place, même celle de mes enfants, même la mienne. J'étais toute pour lui, malgré les rejets, les rabaissements, les déceptions, la solitude dans laquelle il me laissait pour vivre sa vie d'échanges, de convivialité, de rencontres, quand dans la même foule, il était au centre, et moi, à côté, et quand finalement, je finissais par rentrer et me coucher en colère ou en larmes.

Lui qui ne se souvient pas de la première fois où on a fait l'amour, quand mon bonheur que je croyais partagé, n'était qu'un bonheur solitaire, et devenu un souvenir solitaire.Il-ne-s-en-souvient-pas.gifPuisqu-il-ne-s-en-souvient-pas.jpg

Aujourd'hui, bientôt deux ans après mon passage entre la vie et la mort, maintenant que "j'ai retrouvé la raison", que je me construis enfin après avoir soigneusement rassemblé les pièces du puzzle de ma vie, il me parle du lien qui nous unit encore.

Bien sûr, comment pourrais-je briser complètement ce lien, éliminer à tout jamais cette image de lui de mon cerveau. Comment pourrais-je l'abandonner complètement alors qu'il essaie à présent lui aussi de "trouver sa raison", d'assembler les pièces du puzzle de sa vie ? Comment pourrais-je ignorer sa souffrance, moi qui sais ce qu'est n'être que souffrance ?

Il me parle d'un chemin à faire encore à deux, un chemin d'amour, parce qu'il paraît qu'il m'aime enfin.

Oui mais...

Comment pourrais-je aimer d'un amour raisonnable, "travaillé", le même pour qui j'ai vécu les affres de la passion débordante, démesurée, inconditionnelle et éperdue ?Je ne peux t'aimer d'un amour raisonnable


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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 06:30

JUIN, (AN 00)

A une certaine époque, je me suis demandée si je ne revenais pas toujours vers toi,juste pour la beauté de ton sexe, de tes fesses, de tes hanches. Non pas « pour le cul, » car je savais que le plus souvent « le cul » n’était pas satisfaisant entre nous. Juste pour t’admirer physiquement, et me laisser à aller à un désir sans espoir. Et puis, un jour, par des accusations et des injures, tu m’as laminée au sujet de mon amour du sexe. Je n’ai plus pu aimer ton corps, ta peau douce, ni même ton épaule que tu me proposais encore. Et si par la suite, il m’est arrivé de repenser à toi avec quelque nostalgie, de revenir vers toi pour me confronter à toi, tu n’avais plus de corps, ni de paroles, ce sont tes petits yeux noirs qui me rendaient l’émoi. Oui, tes petits yeux noirs, ces toutes petites flaques de charbon ardent, ce que j’ai vu la première fois de toi.

Homme nu de dos

 

 

 JANVIER,  (AN -4 avant l'an 00) - Flascback

PREMIER  COMPTOIR  DE  BAR

Au fond du noir de ton regard

regard noir

Je lisais

Soyeuses caresses

Pudiques délicatesses

Je flanchais

Trop près du noir de ton regard

Emprise d’une soudaine ivresse

D’une chaleur heureuse

Que je voilais

Je cachais  de mon propre regard

L’affreux espoir d’une promesse

Comme si  nue et frileuse

J’évitais

Que l’éclair passé dans mes yeux

Ne révéla le coup de feu

Qui mon cœur explosait

 

JUIN, (AN 00)

 

                                                                                                                                                                                                                                             mer-hallucinatoire.jpgJe repense à nos dernières conversations et à la liste de peurs que je t'ai énumérée. Comment ne pas indéfiniment me laisser entraver par toutes ces peurs ? Je me dis que méfiance et défiance ne sont pas des solutions, car elles entraînent les blocages dont je me fais la proie. Je pense que si j'apprends juste à être vigilante, ce devrait être déjà pas mal.

Serons nous un jour chacun l'adéquat l'un de l'autre? J'ai tellement rêvé, espéré être aimée et désirée de toi, et tellement de mal à oublier les baffes que j'ai quand même encaissées un certain temps, que je ne rêve plus, et j'ai même peur d'être aimée et/ou désirée de toi et de tout autre. Quel long chemin que cette vie pour aller vers soi même et aussi vers les autres. Toi comme moi avons sûrement trouvé plus facile d'aller vers les autres, ne sachant offrir de nous que des émotions, des plus belles aux plus affreuses, et des fuites. Je veux bien continuer ce chemin de paroles et d'échanges simples avec toi, sans savoir où il mène, juste parce qu'il me semble que je me dois de le faire, que cela m'aide à aller vers moi, en souhaitant aussi que cela puisse t'aider à aller vers toi. N'avons nous pas encore beaucoup de choses à nous dire avant que je commence à chercher la réponse  à : Où est passée ma sensualité ? Emportée avec les cendres des excès, avec la peur du rejet à nouveau un jour (et si le souvenir d'un amour déçu, si mon "sexe pourri", si l'image des couches à l'hôpital, si le désir et la fidélité envers une autre revenaient à la surface ?) Et alors attendre et toujours, mon heure d'être aimée et désirée moi aussi... Alors je n'attends plus et je redoute...

Je suis assez contente, car de l'épreuve et la décision que je me suis imposées, celles de te faire face, et qui m'effrayaient tant, je suis sortie indemne. Aller à cette « défaite »(de la musique, jeu de mots subtil de tes amis musiciens), c'était, outre que d'écouter Chocolate Pain dont je ne me suis pas privée du plaisir, aller vers la foule et vers toi, et peut-être te voir boire, ce qui n'a pas été difficile,  il a suffit que moi même je demande un premier verre de bière.te faire face C'était aller vers toi pour peut-être t'entendre dire le verre à la main, comme mille fois avant, que tu gères ta façon de boire sans surveiller comment et jusqu'où tu gérais.

C'était aussi sûrement aller vers voir et entendre un pote à toi me baragouiner gentiment, comme pour s'excuser d'avoir suggéré tout haut "une restructuration", et avec ses « desquels » et ses « auxquels » jonchant ses phrases, comme était grande votre amitié, et me confier comme il respectait ton désir de ne pas parler "d'un certain sujet".

C'était aller vers toi pour que peut-être, tu me fasses une proposition ("essayer de se capter" le lendemain),  et que peut-être tu me dises le lendemain que ce n'était pas le moment (Tu avais géré en buvant, et plus, toute la nuit)

C'était te faire face.

Mais pour moi, ce n'est pas une défaite, je ne suis pas tombée en miettes, parce que je n'avais pas d'espoir secret de ne pas voir tout ça, ni d'illusion que quelque chose m'aurait été favorable. J'ai pu te faire face sans en souffrir, sans me sentir concernée, me contentant de ta gentillesse et tes attentions, de te voir souriant, heureux de la place que l'on t'accorde, et de te rendre utile. Contente aussi, suite à notre conversation de la veille, que tu prépares ton chemin, en accord avec ton fond intérieur. Sans blessure d'orgueil, de jalousie, d'envie. Contente pour toi, et pour moi, de faire ce qui me plaît aussi.Et cette nuit là, la nuit de la fête de la musique, la nuit la plus courte de l'année, j'ai dormi profondément et d'une seule traite, épuisée de ce monde où j'étais seule au milieu de la foule.

 

AVRIL,  (AN 1)

10 mois ont passés et pas mal de moments ensemble. J’ai ressenti diverses impressions, celle de notre relation devenue «adolescente » - rencontres en dehors de mes enfants, de ta mère, des connaissances communes, sur un coin d’herbe, dans un café que nous ne fréquentions pas avant,  sur un banc face au soleil et sans bouteille de Jeanlain, ou à marcher des heures avec toi dans la neige autour de la ville, essayant de fuir ma dépression - approche sensuelle timide, rare, rapide, petits baisers, tes : ma chérie, mes : je ne vois pas ce que nous pourrions projeter dans l’avenir, nos points d’interrogation éternels celle aussi de nous soutenir comme nous pouvions dans les pires moments de blues, de découragement, de perte de confiance en soi, et puis, celle, récurrente, que, quand tu croises le chemin d’un ou de potes, l’occasion de verres à partager, je n’existe plus, tu n’as plus besoin de moi, je ne te manque plus du tout, ce qui m’a laissée seule avec de meilleurs moments, de l’espoir, de la joie, où tu brillais par ton absence, ou bien quand tu me répondais ou me rappelais d’une voix saoule, quand tu ne savais répéter que je t’aime , ou fais-moi confiance, oui dans ces moments mêmes où tu savais parfaitement qu’un monde nous séparait de nouveau. Des sentiments de rêves non partagés, et de ton inconséquence, face à tes choix et aux tentations auxquelles tu ne résistes pas.


face à faceMe faire face aujourd’hui, c’est admettre et comprendre que tu m’amènes plus de douleurs, de colère, de déceptions, de lassitude, que d’espoir. 

 

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